Commentaire de Thoth
sur Roublard même le 11 novembre
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Je me souviens que mon père (paix à son âme), gravement blessé au cours d’une attaque de nuit à Souain, en Août 1915, me racontait qu’il avait assisté à l’exécution d’un camarade qui s’était mutilé parcequ’il n’en pouvait plus. Jamais, il ne m’a parlé avec mépris de cet homme, bien au contraire ! Il en pleurait, chaque fois qu’il y repensait. Les dernières paroles de ce pauvre soldat furent : "Vous direz à ma femme que je meure en héros". Et il l’a fait dignement, refusant d’avoir les yeux bandés. Il est certains que ceux qui l’ont condamné, ne devaient pas souvent marcher dans la merde et dans la boue...
Derniers commentaires
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17/11 09:30 - TSS
il faut arreter de croire que ce texte est la pensée de sarkho ce n’est pas lui qui (...)
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17/11 08:21 - vendeenagk
d’accord avec vous ! ce sont les mêmes qui seront contre dès que quelque chose vient (...)
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16/11 22:18 - Alex
Si vous réécoutez le discours du président (sur le site internet de l’Elysée par (...)
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16/11 17:35 - Traroth
Peut-être, mais la vie n’est pas une création humaine. Je serais d’avis que nous (...)
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13/11 18:05 - Thoth
J’ai oublié de préciser qu’il fut blessé vers trois ou quatre heures du matin. Ce (...)
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13/11 16:38 - Dolores
Qui veut la guerre et la décide ? Les peuples ont rarement la parole, mais ce sont eux qui (...)
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