par fifilafiloche 								 (IP:xxx.x0.96.174) le 17 novembre 2008 à 12H35 				 				
				
								
				
					
Pour que votre témoignage soit contructif et instructif, il aurait fallu que vous exploriez aussi la face cachée de l autre réalité, celle de l entrepreneur, qui risque son capital sur un projet personnel et lorsqu il échoue ne peut se poursuivre lui même aux prud’hommes pour espérer récupérer au moins sur cette lotterie judiciaire, n ayant que des devoirs et le seul droit de les assumer, pour qui le seul diplôme qui compte est celui de l école de la vie.
Bah oui !
La complainte du pauvre entrepreneur exposé à tous les risques...
La GROSSE différence, c’est que, lorsqu’une entreprise na marche pas, l’entrepreneur a toute occurence pour déposer son bilan, faire état de faillite, et que ses dettes sont, dès lors effacées.
Ca aide....
Alors que le salarié, une fois licencié, ou soumis à des salaires de misère, ou à des emplois à temps partiel, ou des emplois précaires, lui, n’a aucune solution de ce genre.
Et que, dans l’économie actuelle, la seule variable d’ajustement des entreprises est.... le salaire...
Quant à créer son propre emploi, encore faut-il en avoir les moyens ; ce qui n’est pas donné au commun des travailleurs ; surtout sur le plan financier.