"Imposer ? Si je veux aller de Toulouse à Bordeaux, je prends la route. Je n’ai pas beaucoup de choix dans l’itinéraire, de ce fait, on peut considérer que la route m’est imposée. Il y a peut-être des esprits bornés pour se lamenter qu’on leur impose un chemin, néanmoins, moi, ainsi que l’immense majorité des gens qui se rendent de Toulouse à Bordeaux et inversement, je trouve bien pratique de ne pas avoir à cavaler à travers champs, et je m’alarmerai qu’une secte de dangereux illuminés se proposent de faire sauter ma route au nom de la liberté de choix. "
Non votre raisonnement ne tiens pas debout pour aller de Toulouse à Bordeaux, pleins de choix possibles, mais la plus part choisissent le plus court. Si des illunimés sautent votre route, ils vous impose un choix.
"On n’a jamais mis un pistolet sur la tempe d’un écolier pour qu’il apprenne l’anglais plutôt que le nenets ou autre idiome. Partout où la chose est logistiquement possible, le choix des langues est proposé. Il se trouve que tant les élèves que leurs parents sont convaincus qu’apprendre l’anglais de bonne heure est une chose utile. Ce n’est pas contre un arbitraire que vous vous élevez, mais contre un consensus. L’anglais est imposé par les faits, l’espéranto est proposé par trois douzaines de profs à la retraite. Voici la différence. "
Logistiquement possible oui mais a condition d’avoir le matériel de base, le plus simple la plus part des profs de primaires valident l’anglais par facilité et oui c’est celle qu’ils ont le mieux apprisent en génral durant leurs études. Donc ce qui induit, un manque de personnel pour les autres langues et donc les parents un peu moutons vont faire avec les moyens du bord qu’on leur propose, c’est à dire que l’anglais, ce qui renforce encore plus les profs à ne valider que l’anglais et ainsi de suite, on obtient un cercle vicieux.