L’immigration est sans aucun doute enrichissante quand les nouvaux arrivant ont un travail et/ou de quoi subvenir à leurs besoins. Par exemple au Quebec, pour obtenir le permis il faut présenter un capital disponible d’au moins 11000€ par personne, et bien sûr de sérieuses garanties de recherche d’emploi préalable.
Mais quand on fait l’inverse, que l’on autorise d’abord l’immigration et qu’ensuite on se pose la question de comment ces personnes vont bien pouvoir subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles... Et bien on ne fait que créer des ghettos et l’émergence d’une nouvelle mafia (cf. la terrible guerre actuelle en Italie entre la camorra et la mafia nigérianne). On voit mal comment justifier que ce type d’immigration peut être un bienfait pour une société. Au nom de la "pluralité culturelle"... De grands mots pour ne strictement rien dire...
L’argument du taux de natalité est une véritable farce. En quoi la réduction de la population est forcément un mal pour un pays ? Axiome purement arbitraire. Il y a la question des retraites, mais il y a moultes façons de la régler, le 100% répartition n’étant que l’une d’entre elles. Et de toute façon, puisque une forte part de la population immigrée ne trouve pas de travail, cela empire plus le problème qu’autre chose. D’ailleurs, maintenant que l’immobilier et le bâtiment sont à la dérive, je me demande ce que nos politiciens vont pouvoir inventer pour justifier les besoins d’immigration...
Enfin, ceux qui pourraient penser que le témoignage terrible de cette libraire n’est que pure propagande... Tomberont de bien haut un jour. Pour avoir vécu dans une ville du sud de la France et dans un quartier à forte population immigrée, je peux vous garantir que l’on a absolument pas l’impression que la république est la même que 20km plus loin, le sentiment d’insécurité et les incidents sont très forts et quotidiens. Bien au delà de ce que la plupart ne peuvent que soupçonner.