@UGN402. L’enjeu porte en effet sur "avoir les moyens d’exercer ses droits" et non "avoir le droit". Vous avez parfaitement raison et je vous remercie mille fois d’avoir mis le doigt là dessus. La réflexion doit s’articuler dans ce sens.
Concernant les pressions féministes que vous évoquez. J’ai des doutes. Les femmes qui revendiquent *la possibilité d’exercice de* leur droit à avoir le choix, et à être respectée dans leur choix, celles-là s’inscrivent bien dans la lignée des féministes qui ont obtenu le droit de disposer de leur corps.
Voir peut-être http://dechaineesweb.free.fr Extraits :
***Parce qu’on en a marre d’être gentilles, de faire des concessions, de s’investir dans des dialogues infructueux avec les membres du corps médical et des autorités politiques et sanitaires de notre pays pour constater que trop souvent, ça ne sert à rien ! Pour faire respecter l’intégrité physique et morale des femmes quand il est question de sexualité, il faut hurler que ce n’est plus possible de continuer comme ça.
Principalement pour amener l’Internaute à une réflexion sur la façon dont la société dans son ensemble et le corps médical en particulier tentent de maîtriser l’expression de la sexualité féminine, de contenir la puissance du corps féminin en niant son aptitude à aller jusqu’au bout du processus physiologique qu’est l’accouchement, à son rythme, selon sa danse... ***
Emma P.