par easy 							 														 (IP:xxx.x56.100.80) le 20 novembre 2008 à 22H25 							 							
							
															
							
								Tu confonds Sisyphe,
Le charpentier, il fait tout son possible pour valoriser son travail et cette valorisation cesse avec son chantier. Il quitte le chantier avec son content de monaie. Ensuite, c’est le promoteur qui fait un travail de bla bli bla blo, dans lequel le charpentier n’intervient pas, et qui encaisse une nouvelle plus-value
Je ne confonds pas.
Je sais très bien que ça se passe comme ça.
Je prenais les droits d’auteur comme exemple.
De même que, pour les oeuvres d’art ; aujourd’hui, si un acheteur trouve un chef-d’oeuvre ancien qu’il paye un prix dérisoire au vendeur qui ignore la valeur de l’oeuvre, une jurisprudence fait qu’en cas de vente de l’oeuvre au prix réel, soit, évidemment, beaucoup plus cher que l’achat, le nouveau vendeur doit reverser une partie de la plus value au premier vendeur.
Ce sont des exemples.
Quant au promoteur qui fait le bla bla ; soit, il a commandé l’oeuvre à un certain prix, accepté par le charpentier, et, à ce moment là, la plus value (sans valeur ajoutée) lui revient légitimement.
Soit s’il achète une oeuvre finie à un certain prix d’achat, et que, toujours sans valeur ajoutée, il fait un énorme bénéfice sur une revente, je dis que, dans un système plus juste, une partie de la plus value (donc purement spéculative) devrait revenir au premier possesseur.
C’est pas une question de blabla, c’est une question de spéculation.