Je m’interroge sur les raisons de cet entétement à conserver un modéle ne fonctionnant qu’en mode "crise".
En tant que franchouillard (càd pas trop mal nourri, un minimum instruit, bénéficiant - encore pour l’instant - de droits individuels) je me suis d’abord dit que le facteur psychologique pouvait avoir joué (genre on ne connait que le libre échange et le bon dieu, penser différement serait presque avouer qu’on est un "rouge").
Sauf que .... Pour que j’ai bon il aurait fallu que les tenants du libéralisme aient une quelconque éthique au dela du "gagner plus de pognon toujours plus vite au détriment de plus de monde". Mais n’importe qui peut voir que ce n’est pas le cas et que le libéralisme n’a qu’un seul moteur : l’avidité.
C’est pourquoi il est impossible de voir ce modéle économique changer, l’avidité reste l’avidité et alors qu’il aurait suffit de ne pas donner un fifrelin aux banques avant d’avoir réglementé tout ça, l’inverse a été fait ne nous laisant que nos yeux pour pleurer cet argent dont aucun d’entre nous ne reverra la couleur (c’est qu’un golden parachute de banquier ça coute cher !).
D’autant que dans le fond, cette crise arrange avant tout les libres echangistes acharnés, les "économistes de la terre plate"(et l’entétement autour du model pourri en est l’illustration). En effet la valeur de la quasi totalité a changé de camp (il n’y a pas de perte ou de gain en bourse ce que perd l’un, un autre le gagne) ne laissant que des rogatons sans presque de valeur pret à être achetés a vil prix par ces banquiers qui en plus d’être subventionés sur nos porte-monnaie on touchés des milliards de bonus ces dernières années.
De plus cette crise est l’occasion révée pour nous ramener (nous qui avons gagner un droit du travail, une sécu, des retraites par la lutte) au niveau des travailleurs des pays sous dévellopés (ah ça se dit plus ... tant pis).
Donc mon opinion est que cette persévérance dans un model qui a démontrer son inéficacité reléve de la plannification de la régression sociale sous pretexte de crise.