@ l’auteur : "imaginer une ligne politique claire, revoir le mode de fonctionnement interne et rénover le PS s’avèrent tout aussi utopique que le grand soir cher au NPA."
Ce qui est "cher" au NPA vous échappe sûrement. Critiquer une organisation politique nécessite une argumentation politique et pas de simples qualificatifs comme "grand soir utopique" ou des " je n’y crois pas à moins qu’il ne devienne "raisonnable"(le NPA) comme le dit Amy Paule...
En politique je n’aime pas les faux-semblants et si le NPA devait devenir "raisonnable" c’est-à-dire devenir un parti réformiste donc défenseur de l’économie de marché il n’aurait plus lieu d’être et devrait disparaître. Le PS occupe déja la place de Royal à Mélenchon. Même si entre ces éléphants des divergences existent malheureusement aucun d’entre eux ne dénonce les fondements du capitalisme et encore moins n’appelle à son nécessaire renversement comme l’affirme le NPA.
Pas d’utopie là dedans évidemment ! Mais simplement les bonnes vieilles recettes démagogiques de la social-démocratie qui, une fois parvenue au pouvoir, fait tout le contraire de ce qu’elle promettait aux gens du peuple lors de ses campagnes électorales.
Comment certains peuvent-ils croire qu’il en irait différemment à l’avenir ?