"1. la mise en place d’un congé d’accompagnement de fin de vie rémunéré pour un proche du malade, un peu au même titre qu’un congé de maternité (ou paternité) pour la naissance d’un bébé (d’une durée de quinze jours)."
Dans le cas d’une naissance je comprends mais dans le cas d’un malade :
Encore faudrait qu’il meurt en 15 jours…
C’est aburde. On veux tout faire pour éviter de voire la réalité en face.
Il n’est pas question de généraliser l’euthanasie mais de l’encadrer dans une société qui a changé. Parcequ’autrefois ces malades mouraient, et la question de l’euthanasie ne se posait pas forcément.
Aujourd’hui il faut accepter l’idée que parceque le progres médical est considérable, qu’il permet de sauver des vies…
mais qu’il peu aussi maintenir des vies artificiellement, mécaniquement, froidement souvent en oubliant la dignité humaine… La science a finalement permis que ces personnes soit la pour nous le rappeler.
Aussi aburde que cela puissent paraître car elles remettent en cause cette science …en annonçant les dérives en nous montrant la folie thérapeutique au nom du respect sacro-saint de la vie.
Si l’église soutient la vie, rappelons que du temps des écris biblique…les soins médicaux n’avaient pas atteinds un tel progrés et qu’il ne permettait en aucun cas de maintenir la vie comme nous le faisons aujourd’hui.
Y a t’il encore du respect aujourd’hui a maintenir la vie de ces malades qui souffrent exagérément malgré tout les traitements et le progres médical envisagé … ? Ces malades qui demande a partir en toute conscience ont dit clairement non. Certes on peu les traiter indéfiniement aujourd’hui !…
Pourtant ces malades demandent juste du respect… le respect de pouvoir partir.
Je n’aime pas le terme de suicide assisté… Ce n’est ni plus ni moins un raccourcis absurde. Ces gens n’ont jamais demander a se suicider. Ces gens ne se sont pas suicidé. Ils ont juste mis le doit sur un emballement thérapeuthique fou dans un monde qui crois que l’homme est tout et que le progrès peu tout… Respecter la vie c’est pourtant aussi accepter la mort.