Commentaire de SANDRO
sur Sade, Matzneff et la piscine Deligny
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Oui, Doc, je me suis volontairement limité, faute de place, à deux symboles du genre, en tentant aussi de démontrer que le dandysme précieux (et feint ?) de l’un n’a pas survécu aux nouvelles censures, alors que l’autre, Sade, le paria, est dans la Pléiade et conserve, tant littérairement que sociologiquement, toute sa modernité.
Pour la signification érotique cachée des contes pour enfants (vieux sujet...), soyez patient, je suis sur que cela va passer la barre. A moins que les ayant-droits de St Ex....
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02/02 18:39 - L’enfoiré
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05/01 11:22 - SANDRO
Merci Doc d’étre passé, votre plume et votre avis éclairé sont toujours utiles et... (...)
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27/12 10:02 - Dancharr
Sandro, Occupé ailleurs, je m’excuse de n’avoir pas lu plus vite vos deux textes (...)
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14/12 18:15 - SANDRO
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14/12 13:01 - Georges Yang
@Sandro A mes moments perdus, je préfère la scatologie à l’eschatologie. Chacun ses goûts (...)
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