D’autre part, votre titre "Des médocs qui rendent dépressifs" est inexact :
Il s’agit en effet de risque de passage à l’acte suicidaire liée à la période où, sortis de l’inhibition dépressive, les patients ayant retrouvé de la vitalité n’en n’ont pas moins encore des idées dépressives suicidaire puisque la molécule ne sature les réceteurs qu’au terme de quinze jours seulement période à laquelle les patients commencent à retrouver le gout de vivre.Ce n’est pas propre au Prozac mais à tous les antdépresseurs d’ancienne ou de nouvelle génération.
Il faut distinguer la malhonneteté des firmes pharmaceutiques en matière d’obstruction à des données d’études et la molécule elle même ...
Et se poser plutôt la question de savoir si dans une société où la violence sociale dans le privé est permanente, la précarité et les angoisses y afférent, le risque de chômage arbitraire et le management par la pression ne justifient pas en grande partie des symtomes anxio-dépressifs chez nos contemporains.
Aucun médecin sain d’esprit ne prescrit de force un antidépresseur à un patient .....Il y a une demande.
Et ce ne sont pas les plus mal en point qui sont en mesure de juger de leur état et de faire une demande de prescription. Là est le vrai problème .
Que le lobby des labos pharmaceutiques soit tout puissant en est un autre ....