Le Prozac est très dangereux pour le coeur. Il augmente les risques d’infarctus. Tous les médecins le savent très bien.
Ils n’hésitent pourtant pas à en prescrire à des personnes cardiaques, mais dès qu’on leur dit que le Prozac donne des douleurs cardiaques ils vous disent de l’arrêter immédiatement.
Mon cardiologue me l’a formellement interdit.
Quant au suicide, il met dans un état de tel détachement de la réalité que le suicide est mis sur le même plan d’importance et de gravité que n’importe quel acte quotidien. Le passage à l’acte est donc grandement facilité. C’est logique, donc ne pas s’étonner du nombre de suicides accrus sous Prozac.
Le Prozac, tout le monde le sait, pose des problèmes mnésiques sérieux. Des années entières de votre passé sont mises à la trape, tout simplement oubliées. Ce sont les gens de votre entourage qui vous font vous en rendre compte, les photos de familles, etc. Il faut se reconstituer son passé en discutant avec ses proches quand on arrête le Prozac.
Sous Prozac on a plus la lucidité, la perception de la réalité nécessaires. On dit les pires horreurs, on fait n’importe quoi n’importe comment, c’est normal, tout va bien, on plane dans son petit monde, on fait ce qu’on a envie de faire quand on a envie de le faire, totalement inconscients du regard choqué des autres.
Je sors de plusieurs années de dépression sous Prozac, et plus jamais ça !