• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de catastrophy

sur L'artiste et le prêtre


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

catastrophy catastrophy 10 décembre 2008 20:46

Admettons la foi. Je pense aussi que Tarkovski étend cette foi sur un fond religieux. Il l’a affirmé. Or, je l’ai dit, sans doute avec maladresse, c’est une idée de la religion, non comme un dogme,  non  une vérité plaquée sur le monde, mais comme le choix du sacré comme alternative à la « barbarie ». On a aussi cette écriture dans l’Ordet de Dreyer (réflexion que m’a communiquée un ami écrivain de Nice : Le Pillouër) . La religion étant ici le fond pourvoyeur de mythes. Maintenant, comme je l’ai aussi expliqué toute rhétorique est bavarde devant une telle œuvre. Pour Stalker, c’est un film qui va au-delà du film. J’ai rencontré des artistes d’Art Contemporain faire des œuvres en hommage ou influencé par ce film. Mystère, magie, rêve. Je continue à penser que cette idée de « l’autre » d’une intelligence non humaine en quelque sorte, pour se délier de « que de l’humain » est au centre des préoccupations de Tarkovski.

 Pour Antonioni, je suis assez d’accord avec vous. Cependant il y a un fond sérieux et une recherche esthétique qui peut prendre de la force avec le temps… Si j’ai fait ce parallèle osé c’est par coïncidence. Etrange ou amusant ces artistes qui cherchent par leur création à résoudre l’énigme du monde et le font avec un tel écart esthétique. cordialement,


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès