bonsoir,
cela s’appelle maintenant du harcelemnt sexuel.
lequel perdure dans certaines entreprises.
seulement aujourd’hui, il est sévèrement réprimendé par la loi...
notre auteur oublie allègrement que le viol est utilisé comme arme de guerre pour tuer l’âme d’une nation ou d’un peuple, en souillant les femmes, petites filles et jeunes filles.... les femmes du darfour, les musulmannes de l’ex-yougoslavie, de la tchéchénie en sont la preuve vivante !
les crimes d’honneur tuent des milliers de jeunes femmes par le monde...
je crois que notre auteur a un sacré problème avec les femmes. il devrait ajouter "misogyne fondamentaliste" à sa carte de visite, tant les attentions portées aux femmes victimes de violences l’insupportent...
pour lui rafraichir la mémoire :
Environ 5 000 femmes et jeunes filles sont victimes d’un crime dit "d’honneur" dans ces pays chaque année.
On leur reproche d’avoir été violées (! ?!), de ne pas vouloir d’un mariage arrangé, d’avoir parlé à un homme inconnu, de vouloir demander le divorce, de n’avoir pas servi un repas en temps voulu, ou bien elles doivent être sacrifiées à cause d’une faute commise par un homme de la famille et qui n’a rien à voir avec la victime, de marcher devant leur mari, de rentrer trop tard à la maison, de regarder longtemps par la fenêtre, de bavarder trop longtemps avec les commerçants, que le téléphone sonne et qu’il n’y a personne au bout du fil.
Certains motifs sont particulièrement futiles : un meurtrier à même affirmé avoir assassiné sa femme car il avait rêvé qu’elle l’avait trompé !
“Selda”, âgée de treize ans et mariée, est allée au cinéma avec une parente à Urfa (Turquie) le 28 décembre 1996. Son mari l’a traînée à l’extérieur en l’accusant d’être une prostituée et il lui a tranché la gorge avec un couteau sur une place animée. Il a purgé une courte peine d’emprisonnement.(...)"
"01 mars 2007
L’ONU doit agir pour mettre fin au viol collectif en tant qu’arme de guerreTable ronde sur les viols commis par les forces armées, notamment au Soudan et en Birmanie
Par Judy Aita
Correspondante de l’USINFO
New York (Nations unies) - La Commission de la condition de la femme devrait être à l’avant-garde des efforts visant à mettre fin aux viols collectifs autorisés par les États, notamment en Birmanie et au Soudan, ont déclaré des militants et des universitaires.
La communauté internationale devrait placer le viol au même rang que les autres pratiques interdites, telles que le recours à des armes chimiques, a souligné Mme Jennifer Learning, qui est professeur à l’École de santé publique de l’université Harvard. « Le viol, a-t-elle dit, est l’arme de guerre la moins technique, et c’est l’arme la plus utilisée. »(...)"
15/12 15:29 - ugn402
Bravo a l’auteur ! Je viens de parcourir les nombreux liens forts interessants (...)
15/12 14:53 - ugn402
Cela fait bientot 50 ans que le victimisme systematique des feministes a ete le moyen (...)
15/12 11:09 - mick legrand
C’est très étonnant cette habitude de botter en touche. L’auteur parle de la (...)
14/12 16:52 - sys1der
Intéressant tout ces fantasmes dans les commentaires. Ceci (le sujet de l’article) est (...)
13/12 16:24 - nihalem
@ Pluto Comment accordez-vous la religion catholique avec vos emprunts à la philosophie de (...)
13/12 13:07 - Varinay
Quelque soient les point de vues exprimés les unes et les autres, chacun sait bien à quelle (...)
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