Certains, sous la bannière du bien s’en vont en guerre contre celles/ceux qu’ils ont stigmatisé(e)s sous le nom de mal et que, inversement, ces seconds en font de même contre les premiers.
Bon, le national n’étant pas terrible, terrible, reste… l’international. A commencer, par le machin onusien. Mais, nouvelle merde : le machin en question n’est pas seulement un souk où les alliances et les votes se marchandent au prix fort , c’est aussi une sorte de scène de théâtre où les représentations sont données selon une mise en scène très… ritualisée, celle de… la démocratie des États (? !?).Et là, franchement, c’est insupportable : le gendarme du monde ne peut pas se commettre devant ce poulailler cacophonique au risque de tâcher son bel uniforme de fientes contestataires !
Dommage, car décidément, le machin onusien, lorsqu’il fonctionne comme on le veut, c’est-à-dire selon sa stratégie, ses intérêts…, c’est tout de même formidable : il permet de mener en dehors des frontières des opérations militaires qui, du point de vue du Droit, tant international que national, ne sont pas… des guerres !
Des opérations militaires qui ont le goût, l’odeur, la couleur… et, de ce fait, le sang, les larmes, les souffrances, les ruines… de guerres et qui, pourtant, miracle de la transsubstantiation (? !?), ne sont pas des guerres mais des… opérations de police internationale !
Les démocrates l’ont admis : l’univers concentrationnaire était une monstruosité en ce que ceux-celles qui l’ont conçu et qui l’ont pratiqué ont bafoué, nié, anéanti… la nature essentielle – et même essencielle – de leurs victimes : l’humanité. Pourtant, ces mêmes démocrates bafouent, nient, anéantissent… l’humanité de certaines personnes au seul motif de leur étrangeté mais aussi celle de leurs concitoyen(ne)s auxquel(le)s ils dénient désormais le droit d’être humain(e)s, c’est-à-dire, nécessairement,… fraternel(le)s, sachant qu’il ne peut y avoir de fraternité sans liberté et égalité.
Au fait, les Français(e)s devraient se méfier : Sarko leur démontre tous les jours que la France c’est… l’anarchie (pardon, la… chienlit), que l’ordre et la sécurité n’y règnent plus et que pour rétablir la paix sociale il faut sans cesse plus de répression, d’interdictions, d’arrestations, d’expulsions… S’il ne tient pas sa… feuille de route, super-gendarme risque fort de le dégommer et de refaire le coup du débarquement en Normandie. De plus, la France ne dispose-t-elle pas d’armes de dissuasion massive à finalité éminemment terroriste : les fromages qui puent ?