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Commentaire de fonzibrain

sur Dieudonné, triste con


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W.Best fonzibrain 30 décembre 2008 16:44

et encore

Interviewer : 						
Je suppose que vous êtes parti du récit qui était fait de ces exterminations dans les chambres à gaz. Alors, expliquez-nous ce que vous avez fait en arrivant à Auschwitz. Par exemple à Auschwitz.
						 						
						 Faurisson : 						
Ça a été l’un de mes points de départ. Quand je disais : « Montrez-moi une chambre à gaz », on n’était pas capable. Quand je disais : « Montrez-moi une expertise », on n’était pas capable. Quand je disais : « Apportez-moi des preuves », on m’apportait essentiellement ; un aveu fait par l’un des 3 commandants consécutifs du camp d’Auschwitz. Celui qu’on appelle Rudolf Höss, à ne pas confondre avec Rudolf Hess. Et en effet, nous possédons une confession. Alors à priori une confession, d’abord ce n’est pas une preuve, c’est une sorte de témoignage et d’une mauvaise catégorie puisque c’est un vaincu qui confesse un crime à un vainqueur. Alors, voici son récit. Je vais vous le résumer. Höss nous dit que il y avait par exemple, à tel endroit dans le camp, une grande chambre à gaz où on pourrait mettre, 1 000, 2 000, 3 000 Juifs. On aurait pu en mettre 4000. Et puis par le toit, on versait par 4 ouvertures ce qu’on appelait des granulés de Zyklon B. C’est de l’acide cyanhydrique. Et puis, les gens à l’intérieur se mettaient à crier. Quand il n’y avait plus de cri, on comprenait que ces gens étaient morts. À ce moment-là, ce qu’on appelait : équipe spéciale, constituée de Juifs, Sonderkommando, mettait en marche un appareil de ventilation et entrait immédiatement. Le faisait négligemment, en fumant, en mangeant, prenait les cadavres, les tirait de là et puis les amenait vers les fours crématoires pour que ces cadavres soient incinérés.
						 						
						 Partie 2 						
						 						
						 Faurisson : 						
						 C’est impossible ! C’est un récit absurde. 						
						 						
						 Interviewer : 						
						 Pouvez-vous nous expliquer en quoi ce récit est absurde ? 						
						 						
						 Faurisson : 						
Il est absurde parce que le Zyklon b qui est un produit qui a été inventé au début des années 1920, c’était fait, et ça existe encore aujourd’hui mais sous un autre nom, c’est fait pour tuer la vermine. C’est à la base un produit extrêmement violent qu’on appelle le gaz cyanhydrique.
						 						
						 Interviewer : 						
						 L’acide cyanhydrique, oui. 						
						 						
						 Faurisson : 						
L’acide cyanhydrique. Et il a une qualité particulière, c’est que il adhère fortement aux surfaces et il les pénètre. Il est extrêmement difficile de s’en débarrasser. Il pénètre même la peinture, le bois, la brique et évidement les corps humains.
						 (00 :58) 						
						 						
						 Interviewer : 						
						 Toutes les surfaces poreuses. 						
						 						
						 Faurisson : 						
Et alors surtout si la surface est vivante, le mélange va se faire et il va rester dans cet endroit. Par conséquent, quand on vient me dire que des gens pouvaient entrer en fumant, en mangeant, alors ça signifie d’abord qu’ils ne portaient même pas de masque à gaz. Et si c’est en fumant, l’acide cyanhydrique est explosible. Et enfin, il est impossible de toucher les cadavres de gens qui viennent d’être ainsi tuer par de l’acide cyanhydrique.
						 						
						 Interviewer : 						
Ce que vous dites c’est donc : les gens meurent sous l’effet de l’acide cyanhydrique, mais l’acide cyanhydrique, lui, n’est pas mort quand les gens sont morts.
						 						
						 Faurisson : 						
						 Voilà ! Les gens sont morts mais le gaz n’est pas mort. // 						
						 						
						 Interviewer (simultanément) : 						
						 Il continue à faire des victimes // et pendant combien de temps continue-t-il à faire des victimes ? 						
						 						
						 Faurisson : 						
Eh bien, le temps pour par exemple quand on veut gazer un local, en général le temps est de plusieurs heures à 24 heures. Réglementairement c’est 21 heures, mais c’est un règlement. Bon, mais ça c’est pour de la matière morte, mais s’il s’agit de cadavres, c’est-à-dire s’il s’agit de matière vivante, alors c’est extrêmement difficile. Et comment le savons-nous ? Eh bien nous le savons tout simplement grâce à ce qu’on appelle : les chambres à gaz américaines. Aux États-Unis, dans certains pénitenciers, on exécute les condamnés avec de l’acide cyanhydrique. Et là, on s’aperçoit, que ce qu’on appelle la chambre à gaz est d’une horrible complication.
						 						

on n’a pas le droit de dire cela en france.


chacun ses tabou
,en chine c’est tien nan men ,en france c’est la shoah.


chomsky et voltaire disent en gros",je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites,mais vous avez le droit de le dire"

c’est ce que je pense.
un truc marrant.

aujourd’hui,on compare ceux qui se posent des question sur le 11/09 aux négationistes,vous seraient d’accord avec moi que c’est troublant.


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