Pierre,
Il y a un proverbe qui dit « pour vivre heureux, vivons cachés ».
Cela pourrait être un peu le sous-titre à l’article.
Faisons notre popote en se foutant pas mal du « regard oblique des passants honnêtes » comme dirait Brassens.
Pas de journaliste pour faire état. La paix souveraine. Honte à ceux qui veulent voir dans mon assiette.
Gaza, un nouveau ghetto que l’on a créé avec l’expérience de l’histoire.
Il fut un temps où j’ai écouté « Inch’Allah » d’Adamo.
Il y en a eu un autre où j’ai visité les pays en question.
Mon raisonnement et mes conclusions ont été complètement différents.
Nous sommes à l’ère de l’ouverture et pas de la fermeture.
Plus rien de rikiki limité aux frontières.
La crise, internet d’aujourd’hui ne sont qu’exemples parmi d’autres.
Maintenant pour avoir la paix, pas seulement au niveau d’un pays, mais d’une simple famille, la meilleure technique, c’est de bichonner celle de ses voisins.
Nous n’avons, dans notre histoire, pas toujours eu de frontières. Nomades, au départ, à quoi cela aurait servi ? Puis, la sédentarisation, grand progrès de l’humanité (du moins reconnu comme tel) a créé des murs pour raison de sécurité. Ceux-ci se retournent contre nous aujourd’hui.
Le nomadisme touristique n’est pas uniquement idiot.