"Cette intervention était-elle nécessaire ? Bien sûr que non"
Dixit Voltaire qui a tout compris et qui nous pisse un texte qui est un modèle d’hypocrisie, renvoyant tout le monde dos à dos. L’agressé et l’agresseur, les tueurs et leurs victimes, les fascistes et les démocrates.
Voltaire, notre Salomon de pacotille, les israëliens et les palestininens du Hamas le font chier. Ils troublent son sommeil.
La France n’a rien à dire de ce conflit et n’a pas à s’y impliquer ni à y être impliquée par des étrangers de passage sur notre sol qui en profitent pour brûler des voitures et piller des bijouteries.
Notre Président ferait mieux de ne pas s’en occuper et de soigner son prurit et sa bougeotte, qui le poussent à courir dans tous les sens comme un canard sans tête. Il ferait mieux de ne pas s’en occuper et de s’occuper plutôt de maintenir l’ordre.
Et Voltaire ferait mieux de se taire. Ils suent la peur tous les deux et veulent nous faire croire que la trouille, c’est de la sagesse. Le véritable Voltaire doit se retourner dans sa tombe tous les jours lorsqu’il voit qui ose utiliser son nom comme pseudo aujourd’hui. Un prétentieux.
Etait-il un lâche, lui ? Aurait-il eu vraiment peur de faire la guerre au Hamas et à tout ce que le Hamas représente, par crainte de se faire de nouveaux ennemis ?
"Voltaire", c’est pas Jean Moulin.