Et aussi tous les espoirs de notre « vieille Europe » et du tiers-monde.
De fait, les Etats-Unis sont en passe de devenir un pays du tiers monde, avec tout ce que cela implique de non-développement, de mal-développement, de sous-développement et d’assistanat, ce qui serait une chance unique pour l’Europe, si elle n’était "dirigée" par des ectoplasmes invertébrés.
A tenter la comparaison entre Obama et Kennedy, on a omis de voir que l’américano-kényan est aux antipodes du Kennedy qui enjoignait : - Ne vous demandez pas ce que le pays peut faire pour vous, mais ce que vous, vous pouvez faire pour le pays.
La victoire d’Obama n’est pas le signe d’un changement de la mentalité américaine, mais celui d’une modification du peuplement des Etats-Unis. Vers 2050, ils seront habités par une majorité de non-Blancs, composée de gens émanant des populations médiocres de pays faillis, et sur le plan socio-économique, ils devraient d’être rapprochés du niveau de l’Argentine.
L’inénarrable Obama n’est qu’un élément particulièrement spectaculaire de cette régression et dans la mesure où il est le seul dirigeant de son ampleur à croire qu’on peut faire de la bonne politique avec de bons sentiments, la dégringolade n’en sera que plus rapide.
Nous, Européens, nous nous marrerons avec d’autant moins de retenue que nous tremblons rétroactivement à l’idée de ce que serait notre destin si Ronald Reagan n’avait pas victorieusement mis fin à la guerre froide. En face de Bolcheviks purs et durs, ce gandin ultrabrite aux faux airs de popstar n’aurait vraiment pas pesé bien lourd…