Mouais....
pour moi et pour vous paraphraser, l’acte de fumer est la marque d’un choix de mouton.
Je suis non-fumeur :
1) par ce que ça ne me plait pas
2) c’est pas parce que les autres fument que je dois faire pareil.
je ne fume pas car contrairement à ceux qui, à l’époque, ont eu la faiblesse de ne pas résister à la pression du groupe, j’ai résisté. alors votre titre me fait bien rire.
L’interdiction dans les lieux publics : génial comme idée. quelqu’un qui boit, même si il se détruit, c’est son choix, ça n’a aucun impact sur les autres. Quelqu’un qui fume, c’est son "choix", en revanche il me fait chier si il me balance sa fumée...
Je vous accorde que l’application de cette loi aurait pu etre différente. mais au final, ça me fait bien rigoler.
Je suis contre l’interdiction de fumer, chacun est libre de son choix. par contre je revendique le droit de pas fumer, ni d’etre enfumé (le nombre de fois ou j’ai fait remarquer a des personnes qu’ils envoyaient leur fumée sur mon bébé, pour me faire engueuler...). Cette loi n’est que la conséquence du non-respect des fumeurs pour les autres. J’ai toujours entendu les fumeurs dire "je demande quand y’a du monde", "jamais devant les enfants". En pratique, je n’en ai jamais vu le faire.
je vais vous avouer mon sentiment lors de l’annonce de cette loi : enfin !
Et aujourd’hui, les fumeurs pleurent, et ralent contre les "hygieniques". Et mon droit à pas passer une journée de travail noyé dans la fumée (simplement l’odeur...). et mon droit de manger un bon repas, sans etre enfumé durant le repas (quel salaud ces hygieniques).
Vous n’avez jamais respecté les autres, ne vous étonnez pas si maintenant y’a eu un retour de baton...