Villach, c’est les médecins de Molière à lui tout seul
Si vous faites abstraction du paragraphe découpage-de-poils-de-c... en quatre où il se livre à ses analyses d’image à coups de mots fétiches (métonymie, intericonichose et tutti quanti) destinés à épater le peuple, (notez qu’après avoir découpé en rondelles sans rien en avoir tiré de plus, il abandonne l’image pour s’intéresser au titre)
Si vous faites abstraction du paragraphe suivant, rempli de sa perplexité sur le choix du terme "l’élue", dont il ne tire rien d’autre qu’une nouvelle source de perplexité...
On en arrive enfin au moment où avec une touchante subtilité, Villach laisse choir une jolie (?) formule latine. Admirez le procédé : par une savante mise hors contexte (*), la formule latine livre l’info essentielle : Villach sait le latin !
(*) Entendez par là que la citation IMP CAES FL CONSTANTINO MAXIMO P F AUGUSTO, etc n’a aucun rapport avec ce qui précède. Ben oui coco, Mise hors contexte, c’est ça que ça veut dire
Suit ensuite un paragraphe sur la classique collusion presse-Sarkozy, un vrai marronnier qui fleurit depuis mai 2007, pas la peine de faire le détour.
Résumé de l’article : Villach maîtrise pas seulement l’intericonicité, c’est aussi un latinophile chevronné.
Ne manquez pas le prochain épisode : Nadine Morano en couv’ de Mon ouvrage, Mon tricot, sous-titré : Paul Diafoirus connaît la maille à l’envers
J’en salive d’avance, tiens !