D’accord l’internaute. Mais c’est une mesure qu’il fallait prendre il y a six mois. Je ne susi pas sûr qu’aujourd’hui ce soit suffisant. par ce que la crise à touché l’économie réelle, et que de nombreux ouvriers ne vont plus pouvoir honorer leurs échéances.
Je sais que côté Suisse le sentiment est plus mesuré, mais la suisse n’avait pas la culture du crédit avant la crise et de plus le patronat suisse me semble beaucoup plus modéré et plus fin que le patronnat français.
La recherche du point de rupture est assez systématique chez nous, quand il n’est pas tactique. Une semaine de grève coûte parfois moins chère qu’une semaine de chômage technique. Mais pour l’entreprise lle permet aussi la réduction des stocks, parfois le non payement des salaires ou tout au moins sa négociation. J’ai même connue des entreprises ou on me versait une prime pour gestions des conflits. Ce qui me parrait etre la pire des anneries.
C’est donc en tenant compte de ces paramètres et devant la montée du chômage, de la grogne qui l’accompagne, et des difficiltés financières qui vont forcément se développer dans les PME (c’est l’histoire du serpent qui se mort la queue) que je pense que l’annulation des dettes sera tôt ou tard nécessaire. On le fait au niveau de certains états émergents j’ai bine peur que nous ne soyons contraint d’y venir. Ca n’est qu’une piste et on doit pouvoir y trouver quelques accomodements. Mais plus on tarde et plus le problème s’accentuera. Laisser aller au fil de l’eau est exclu, voir suicidaire. Il faudra choisir entre deux maux. Un rétablissement lent de l’économie, avec l’abandon des intérets, et des aides couteuses, ou un plan totalement injuste mais qui pourrait relancer rapidement les machines.