Il me semble que le travail est le système d’aliénation qui à été créé pour permettre à une dite "élite" de prendre le pouvoir sur la vie d’autrui.
Historiquement les découvertes ont permis un développement des capacité et des compétences et certains ont reniflé le bon plan pour tirer profit de la situation.
Quel que soit le sujet de société quer nous prenions, il y a toujours les intentions humaines à la base.
Créer et inventer des biens pourrait-être trés amusant, stimulant pour l’imagination, pour l’invention, pour l’émulation du travail en groupe, pour l’apport à la société des hommes des bienfaits de l’intelligence suffit de le vouloir. Au lieu de ça on nous contraint à la production effrénée, nous divise dans la concurence sauvage, limite notre créativité à ce qui est "vendable" voire "rentable" le tout dans le stress et la morosité, contraint beaucoup d’autres à l’ennui du chomage ou du rmi si ce n’est à l’oisiveté qui est la mère de .... , ha quelle évolution.
En pleine crise financière, crise du profit, on s’apperçoit que c’est l’argent et ceux qui le détiennent qui sont un problème. Nous sommes plein d’ingéniosité et de créativité et ceux-ci bloquent cela par leur besoin de rentabilité car eux ne veulent rien faire d’autre que du profit pour financer leur orgueil, prétention ou oisiveté qui est la mère de ......
Le travail est une erreur de parcours qu’il va falloir redresser, mais apparemment elle n’a pas encore poussé assez de monde au désespoir pour être remise en cause.
J’invite nos brillants économistes à inventer l’économie de la gratuité, et là vous verrez que le monde prendrait une autre gueule et nous pourrions alors tous participer activement dans la joie et la bonne humeur et chacun à son rythme, volontairement.
C’est con que je crois pas trop en dieu, sinon je prierais.
Qui n’a pas senti de fierté d’avoir participé à une action constructrice et de voir le résultat devant en soi, en cela personne n’est indifférent et personne ne serait "fainéant" chacun à son niveau avec ses compétences et l’envie d’apprendre et de se dépasser. Là est le vrai bonheur de l’action en société. Et si tout le monde bosse pour pour tout le monde alors tout le monde aura tout. L’antithèse du chacun pour soi individualiste dans lequel on nous enfonce un peu plus chaque jour.
Mais ça doit être trop simple, alors ça plait pas....
A lire les écrits de Bob Black ( si ça existe toujours sur le net).
Merci pour votre article.