Je vais déraper un peu mais c’est nécessaire au débat .
Attali ne peut se contenter d’essayer de ressuciter son parti, apporter des projets, des idées, il faut qu’il prenne le boulot d’élisabeth thessier, de nostradamus .
Encore un type à la dérive payé à un prix fou .
Un peu comme un Julien Dray avec ses 15 000€ mensuels, après ça nous sommes compris par nos élites sachant que :
10% des Français touchent moins de 335 € / mois
50% moins de 1290 € / mois
90% des Français touchent moins de 2331 € / mois
A leur décharge, footballeurs et grands patrons c’est entre 300 et 700 années de SMIC en un an !
Mais Attali (ATILLA dans ma tête) est capable de pondre ça :
Une brève histoire de l’avenir de Jacques Attali.
Dans ce texte fascinant, notre national docteur ès-mondialisme livre noir sur blanc le « plan » des classes dirigeantes occidentales pour conserver la domination du monde, à l’heure où le substrat ethnique de leur puissance se défait sous les coups conjugués de l’immigration et de la déculturation. Ça vaut le coup d’œil.
Pour Attali, le XXI° siècle sera divisé en trois phases :
- l’hyperempire, qui débutera vers 2030, et qui verra le monde passer d’un système unipolaire américanomorphe à un système multipolaire, régi en pratique par le capital mondialisé,
- l’hyperconflit, qui débutera peu après l’avènement de l’hyperempire et le submergera progressivement – un temps de chaos anarchique et ultraviolent à l’échelle du globe,
- l’hyperdémocratie, qui succèdera à l’hyperconflit et se construira en réaction à ses excès – une sorte d’âge du Verseau, pacifique et « transhumain ».
Cette vision de l’avenir est appuyée en premier lieu sur une étude du passé. Pour Attali, l’histoire humaine se résume à un nombre limité de lois, qu’il affirme connaître.
- Le moteur de l’Histoire est l’affrontement multimillénaire entre nomades et sédentaires, et ce sont d’une manière générale les nomades qui créent le progrès
- La démocratie résulte du marché , en particulier parce que le marché facilite l’échange au sein des élites, échange par hypothèse créateur de progrès, même quand il oppose des civilisations ennemies...
- L’idéal démocratique, c’est-à-dire selon Attali le sous-jacent théorique de la ploutocratie, consiste à établir les droits de l’homme, et il dit le Bien
- La loi universelle qui régit toutes ces lois secondaires est l’extension indéfinie de la liberté individuelle, supposée être l’objectif en soi de l’humanité .
Attali enchaîne sur la partie de loin la plus intéressante de son bouquin : l’analyse des mutations de cet « ordre marchand » dont il est persuadé qu’il incarne le sens de l’Histoire. Là, son propos est vraiment instructif :
- Attali analyse l’ordre marchand comme un processus de définition d’une « langue » unique, la monnaie (« langue » rendue nécessaire, selon lui, une fois que le rêve de l’Eglise, l’unification autour du latin, est devenu caduc), monnaie qui permet la maximisation de l’échange, donc, dit-il, du « progrès ». Cet ordre marchand a toujours un centre qui, nous dit Attali, s’enrichit par la richesse qu’il sait créer (.. ;
- Le centre de l’ordre marchand finit toujours par succomber, parce qu’il ploie tôt ou tard sous le coût de son empire ;
- L’implosion financière « ratifie » le déclin des « cœurs » successifs du capitalisme. Attali identifie une dizaine de « cœurs » successifs. Passons sur les premiers, et intéressons-nous à l’histoire récente. Pour Attali, la crise de 1929 marque l’implosion d’un premier « cœur » américain (Boston, économie du charbon), puis, après une crise, la naissance d’un nouveau « cœur » (New York, économie du pétrole et de l’électricité). 1979 marque l’implosion de ce deuxième « cœur », dont Los-Angeles prend le relais (économie de l’information). A chaque fois, la naissance du nouveau « cœur » passe par la captation de technologies que le « cœur » n’a pas forcément inventé, mais qu’il sait s’approprier parce qu’il détient le Capital .
Vraiment, nous avions Paco Rabane, Nostradamus, Elisabeth Tessier, maintenant nous avons ATTALI .
Demain matin il viendra même me donner des cours de robotique tant qu’il y est !
Il y a des règles ultimes que seul LUI et certains INITIES en comité très très restreint connaissent ...
Désolé même si on nous explique nous sommes trop idiots, Ha ha ha
Lorsqu’il me sortira un vrai projet du style : Proposer et Compter des bulletins de vote "ne se sentent pas représentés" au élections, là nous pourrons commencer à discuter .
Si tel est le cas, ce serai un cataclisme à toutes les élection, si les "ne se sentent pas représentés" étaient majoritaires, nous revoterions jusqu’à ce que nous nous sentions représentés.
Là ce serai la vraie démocratie, et non la ploutocratie !
Les Français ne votent plus POUR quelqu’un depuis bien longtemps mais contre son adversaire, nuance .
C’est pas pour cela qu’ils se sentent représentés par "l’élu" , toute la question de la légitimité réside dans ces quelques lignes .
Je suis dur, je m’écarte du sujet, mais c’est ma grande habitue