« mon père n’a pas lègué » sic
Poltron Agoraphobe, et Islamophobe
Correction à l’usage d’un Sot
Aux puissances humaines et motrices régissant ce monde, aux chefs de files et belles mécaniques qui font avancer idées sottes et hautes technologies, aux seigneurs bagués, adulés, protégés, pleins d’amis et d’artifices, aux chimpanzés humains imbus de leurs apparences, j’oppose l’innocence de ces mots, la vertu qui n’a plus cours, la simplicité de l’eau. Les étoiles dans le ciel m’accompagnent, car l’immensité est mon astre.
Et à toi Poltron Agoraphobe en Particulier
Auto-portraît de P A « pour ceux qui ne le connaîssent pas »
Faux Intellectuel sans coeur, cynique repus, nanti corrompu, antijouisseur impie, faux esthète dépravé, penseur de tes matières, conducteur d’engins rutilants, maffieu aux bassesses épaisses, bandit au poil fin, faux patron burné d’entreprises douteuses, joueur tricheur de poker, falsificateur analphabête de textes que tu n’as jamais lus, prosterne-toi devant le mépris que tu incarnes, défenseur esclavagiste de Voulet et Chanoine, adepte de la colonne Marchand, supporter du PNFE, porteur de Kakisme vomitif, tronche poissonnarde d’un vichysme célestin, posturisateur infécond de tes tares innombrables, Insulte vivante à l’autodidactisme, faux marlou et vrai escroc, simiesque dénérescence d’un monde qu’on ne regrettera pas, héritier gégénisant des plus lâches ratonnades, oxymore incarné du beau et du vrai, apologiste du néant, sanctificateur fascinés par les pages les plus honteuses du fascisme européen, incarnation vivante de la laideur.
Falloujah te le dit Je suis la noblesse physique, la fragilité du corps, la vulnérabilité terrestre mais la force de l’âme, la puissance de l’esprit, l’éclat intérieur. Je ne suis qu’insignifiance dans votre monde, mais une gloire dans le Ciel d’Allah. Vous vous croyez fort, vous n’êtes que brindille. Vous êtes bête, creux, laid, sale, vous suintez le néant, le fric dégoûtant, le whisky frelaté, la catin syphilisée.
Le Sublime Falloujah te méprise :