@L’auteur,
Le problème du communautaire, on connait et on en a souvent mare de le subir.
Il faut passer à Bruxelles et voilà qu’il disparait sur le terrain mais continue à faire transpirer dans tous les médias.
Comment se fait-il qu’on ait créer l’Europe financière sans penser imposer une seconde langue commune dans tous les pays qui la constitue ?
Je me souviens avoir proposé à un de nos nouveaux partis d’oublier notre problème communautaire de la 2ème langue du pays en passant par la transition de l’anglais. Sans réponse. Trop tard, pour apprendre la 2ème langue du pays. Nous sommes à l’échelle européenne et non plus nationale.
Désolé mais pour la choisir, il y a l’histoire et la pratique. Peu importe le problème politique. Se parler est bien plus important. Quand l’armée européenne se trouve en opération, il s’agit de connaitre cette langue de "passage".
L’esperanto que j’ai évalué, est sensas dans la vitesse d’apprentissage mais ne fait pas le poids par rapport à l’anglais. Désolé. Avoir tout à traduire en Français pour exister en France tombe dans l’incompréhension. En Belgique, beaucoup d’utilisateurs de l’informatique choisissent la version anglaise. Trop complexe de faire le lien avec les bouquins sur le sujet.