Krokodilo,
Comme je vois que vous ne répondez qu’à ceux qui vont dans votre sens, je reviens.
Dès votre premier article sur le sujet, je sentais où vous vouliez nous mener. Mais je devais attendre le 2ème épisode pour tout comprendre.
Comme ce n’est pas un galop d’essais, je savais bien où on allait.
Pourtant, j’ai été surpris, le mot « esperanto » n’est pas apparu.
Mais chassez le naturel, il reviens au galop. Dès le premier commentaire, voilà « mon enthousiasme pour l’espéranto ».
Avant, de donner mon avis, j’ai l’habitude de creuser le sujet. Et mon enthousiasme était bien présent à son étude.
Est-ce à dire qu’il faille oublier la pratique et l’histoire ? Là, je dis non.
Le « nice to have » n’efface pas « the daily reality » et c’est un peu tard pour recommencer l’histoire.
Comme je l’ai dit plus haut, l’européen parle anglais chez nous à Bruxelles.
Ici, nous sommes un véritable laboratoire de langues et de cultures et cela qu’on le veuille ou non.
La richesse de tout cela doit avoir une passerelle et l’anglais jusqu’à nouvel ordre me semble le meilleur « tuyau ».
Mon pragmatisme ne fait pas partie des « Asp_irants » .
Cordialement, L’Enfoiré