@ Beubeuh,
Vous avez malheureusement raison. Dans ce genre de fil, cela ne sert à rien d’apporter des idées et une opposition constructive.
Il n’y a pas beaucoup de monde sur ce fil qui ait les connaissances en anglais, en esperanto, en relation avec le monde par la porte de l’évasion sous d’autres latitudes mais on parle, on cause et on n’apprend rien.
Il y a le pragmatique de la pratique et de l’histoire. A côté, le reste c’est du vent.
On est des esclaves !!! L’esclavage ne nait pas par l’usage d’une langue mais par le manque d’opportunité d’imposer son savoir à travers le monde avec le maximum d’efficacité en étant compris de tous.
Je l’ai dit et c’est peut-être dommageable, c’est entre 0 et 5 ans qu’une langue s’apprend le mieux et le plus vite. Ce n’est pas évidement avec des mots à la 60-15 (expression de chez nous) mais c’est suffisant pour se faire comprendre. L’école ensuite fournit le reste.
L’allemand, je le regrette très fort, je n’étais pas un élève suffisamment patient, le prof pas assez sévère et l’année d’étude en allemand ne m’a pas servi à grand chose pour la pratique. Je m’en mord les doigts. Qu’on ne vienne pas me dire que l’allemand n’est pas plus difficile au niveau de la grammaire que l’anglais. Dire cela, c’est de l’inconscience. Si l’anglais était prononcé comme l’allemand avec toutes les lettres sans faux fuyant, ce serait une langue parfaite. Malheureusement, la construction de phrase allemande laisse pantois et les cas font plutôt latino.
L’étude d’une langue ne devrait plus se faire par l’intermédiaire de la littérature à l’école. Elle devrait chercher à être pratique, du moins au départ. Quand on ose téléphoner à quelqu’un dans une autre langue on s’aguerrit. Ce n’est peut-être pas gagner, mais on a passé le stade de la peur. Quant au français, elle dépend du contexte et pas de l’intonation. Le cent à l’heure se fait sans le sang. A chacun ses défauts.