Merci Skirlet, pour pouvoir garder mon humour. 
Je vais résumer en une phrase « Pourquoi n’y a-t-il pas qu’une seule langue unique dans le monde ? »
Plus de problèmes. Tout serait plus simple. Tout le monde se comprendrait. On ne perdrait pas de temps à étudier dans un autre « milieu linguistique », tout ce que l’on avait appris dans une utilisation naturelle dans des domaines bien plus intéressants ? On tomberait plus dans le piège des linguistes qui en font leur métier et leur tarte à la crème.
J’ai parfois des idées iconoclastes. Là, on entre dans le vif du sujet, à mon avis. Pourquoi veut-on parler avec son « copain » de l’autre côté de la planète ? Chacun est unique, disent certains, mais il faut du pluralisme d’idées. Exprimées en quoi ces idées ?
Alors en esperanto, ou en anglais, ou en martien ? J’en ai vraiment rien à cirer.
Bon sujet de philosophie pour les soirées d’hiver, non ? 