« Il sera sans doute un de ces jours exhibé au palais Grassi ou à la Dogana »... C’est le seul point sur lequel nous serons définitivement d’accord. Cette oeuvre défigure cette ville splendide qu’est Prague.

Vous êtes un grand ponte d’agoravox : c’est votre droit de défendre votre site préféré et, à la différence des agoranautes qui vous injurient ou réclament que vous soyez censurés, je vous reconnais le droit d’expression non pas comme un pouvoir régalien (que je ne possède pas, à la différence de la rédaction de votre site adoré) mais comme un droit essentiel de l’individu. Ce n’est pas parce que j’ai été censuré que j’en appelle aux mêmes méthodes vous concernant. Le respect de votre liberté d’expression est (je suis contraint d’écrire devrait être ) la garantie de la mienne). Enfin, je ne vous ai personnellemnt jamais injurié ni psychiatrisé comme votre ami (sic) Castorama.

Je ne vois pas en quoi la connaissance d’un peuple, de sa langue, de sa culture (littéraire ou musicale) fait partie de la scolastique. Il serait bon de discerner ce que vous dénoncez. Reléguer les Tchèques voire leur gouvernement au rang de peuple grossier fait partie desz clichés (que vous dénoncez. J’espère que nous n’allez pas nous sortir une fumeuse théorie du complot : sachez qu’un complot nécessite une sérieuse préparation (donc des gens intelligents), une participation massive de complices (qui peuvent toujours parler).

Vous prétendez que les injures de Sarkozy concernant la capacité des Tchèques à diriger l’Europe n’ont rien à voir avec mon commentaire. Permettez-moi d’en douter : ce n’est pas le gouvernement tchèque qui a été injuriémais le peuple tchèque et je peux vous affirmer que les Français ne sont pas populaires en ce moment. Pour eux aussi, il est diificile de faire la distinction entre notre micro-Duce et le peuple français dont la plupart seraient bien incapables de situer ce payx sur une carte.

Ce qui vos agace dans mes commenatires, c’est le fait que je m’en prenne à des gens de gauche, tous comme ces minables profs qui m’insultent aussitôt que je pointe du doigt la responsabilité de l’idéologie socialiste dans le désatre que connaît notre système éducatif (il n’y a pas que l’OCDE, ne vous en déplaise). Étrange de votre part, vous qui n’avez cessé de dénoncer le vote par l’assemblée nationale de la loi liberticide socialiste du 12 avril 2000 (par vos amies Ségolène et Martine que vous adorez tant). Pour moi, ces deux radasses (criez de suite à l’injure) ne valent pas mieux que Sarkozy. Vous avez d’ailleurs montré dans vos précédents articles la continuité entre la jospinie et la sarkozye : un peu de cohérence, que diable.