Je cite Aragorn : « « « Un grand effort a été déployé par la machine de propagande israélienne pour faire apparaitre la guerre comme étant une guerre du « bien » contre le « mal », un dualisme moraliste archaïque et manichéen qui fait parfois sourire, et plus souvent pitié, de ceux qui souffrent encore de la primitivité d’y recourir. La stratégie de communication israélienne et pro-israélienne durant cette dernière guerre s’est grosso-modo basée sur les points suivants ... » » » Vous remplacez israélienne par du Hamas, et vous obtenez la même rhétorique. Ce qu’il y a de dommage dans votre présentation, qui n’est pas inintéressante pour ce qu’elle présente comme des arguments, c’est qu’elle en oublie les faits premiers du pourquoi, énoncé par les israéliens eux-mêmes et appliqué par la suite. Le point 1 : le Hamas a été reconnu comme un mouvement terroriste pour ses déclarations, ses intentions, sa charte et ses actes, et son comportement vis-à-vis de la population palestinienne n’est pas digne d’éloge, même pour un mouvement qui se prétend de résistance..
Le point 2 : un pays sans constitution peut-il être considéré comme démocratique ? Réponse : le Royaume Uni. Il n’y a que les admirateurs de systèmes non démocratiques qui affirment qu’Israël n’est pas une démocratie.
Le point 3 : Israël n’est pas en guerre contre tous les pays arabes que l’on sache ni contre les peuples arabes ou musulmans !
On peut continuer comme cela sur les autres points, la réalité du monde et de ce conflit ne correspond pas à ce que vous tentez de nous faire croire. Analyser des intentions qu’on ne traduit pas par des faits revient à pisser dans un violon pour le faire chanter... Et comme cette guerre va permettre de rebattre les cartes plus favorablement dans le sens de la paix, puisque tout le monde a constaté que les horreurs de toute guerre multiplient- les envies de paix. Le Hamas se ramasse, et son soutien populaire a de bonnes chances de diminuer, c’était une des raisons de l’implacabilité de la riposte israélienne. Cordialement à l’auteur. Namaste. DACh