Adieu.

Pour avoir longuement fréquenté ce site, de façon presque quotidienne, je me résouds à constater que ce ne fut principalement qu’une perte de temps.

Sur Avox, on passe son temps à critiquer les lobbies (tous)....... pour reproduire ici les mêmes lobbies (tous), et avec beaucoup moins de contrôle qu’ailleurs, hors du virtuel.

Sur Avox la désinformation, sous couvert d’Alter-Info, opère sur tous sujets. La démarche "citoyenne" se borne à répéter des idées à la mode, celles qui seraient soi-disant privées d’exposition, mais qui dans les faits n’ont aucune réalité et qui ne traduisent le plus souvent que les obsessions d’un auteur.

Sur Avox toutes les dérives ont droit de citer. Plus rien n’est contrôlé avant publication, tout peut s’écrire, se dire, se répandre, se commenter. Une cacophonie permanente.

Sur Avox quelques pépites surgissent, rarement, comme par miracle au milieu de vacuités. L’espoir de tout Avoxien d’esprit curieux qui observe comment ses contemporains pourront aujourd’hui le surprendre, et qui jour après jour, de déception en déception, se demande finalement à quoi et à qui peut bien servir tout ce cirque.

Le dernier conflit Israélo-Palestinien et les dérives qu’il généra ici, fut pour moi l’occasion de décrocher du site. J’y reviendrai peut-être plus tard.
Mais là, overdose, dégoût ou désintérêt pour tout ce qui se murmure ici, dans ce petit coin perdu du Web qui se prendrait volontiers pour le nombril du monde.

Chacun a son rythme. Aujourd’hui c’est moi qui craque, après d’autres et avant d’autres encore. L’absence ne se remarque jamais car chacun y est remplacé par de nouveaux arrivants. Le cycle se perpétue sans but ni objet, pour le plaisir d’une Agora virtuelle qui tourne en rond dans son Web en forme de bocal à poissons rouges.