@Gaston 06
Je crois que vous faites une contre-interprétation de mon propos : Ce qui, pour moi, est essentiel est le fait que l’on se soit assuré que le mouvement attendu n’est pas risqué du point de vue de l’acteur. Ceci signifie que sont prioritaires toutes les actions en matière de formation, et "d’équipement" (au sens large) des individus : S’assurer qu’ils ont bien effectivement les moyens de le faire.
C’est donc tout le contraire d’un "management par la terreur" ! Je pense que celui-ci est totalement innefficace dans la durée et, si il peut donner des résultats "apparents" immédiats, il se retourne très vite contre celui qui l’utilise.
Quant à faire une lecture politique de mon propos, c’est-à-dire dans la capacité des politiques - que ce soit Sarkozy ou un autre - à bien mettre en oeuvre de vraies plans de changement responsables, je crois qu’effectivement ils ont une tendance à ne pas vraiment se préoccuper de la faisabilité de ce qu’ils proposent, et, du coup, chercher à faire peur pour faire bouger... Ce qui est l’inverse de ce que je recommande (mais je ne suis pas un acteur en la matière).
Enfin oui cet article a pour but de faire connaître partiellement ce que j’ai écrit et de le mettre en débat.
Merci donc de votre commentaire qui m’amène à préciser mon propos.
Quant à ce que je pense plus largement, il suffit d’aller lire mes articles publiés sur AgoraVox pour éviter de me caricaturer...