Merci Sapiens !
C’est en fait bien plus grave qu’un article mal sourcé, c’est du plagiat pur et simple !
Qu’on en juge :
Original : « Cette distinction entre crise de liquidité et crise de solvabilité peut paraître très technique et finalement peu déterminante pour l’évolution de la crise en cours. Pourtant, elle n’a rien d’une querelle académique puisque, selon le cas, l’action actuelle des gouvernements et des banques centrales sera utile ou au contraire totalement inutile, voire dangereuse. »
Copie : « La distinction entre crise de liquidités ou crise de solvabilité peut certes sembler technique mais elle dépasse le cadre académique ou la simple querelle d’experts car c’est précisément de l’identification de la nature de la crise actuelle que dépendent les actions de nos Gouvernements et Banques Centrales. Une réponse et des mesures inappropriées - autrement dit un pronostic erroné - étant effectivement susceptibles d’aggraver la crise...De fait, les enjeux sont de taille. »
Original : « D’ailleurs, des milliardaires russes [10] aux pétromonarchies du Golfe arabique en passant par l’Eldorado commercial chinois [11], ce sont toutes les « poules aux œufs d’or » des entreprises et des établissements financiers de la planète (et notamment européennes, japonaises et nord-américaines [12]) qui s’avèrent désormais insolvables ou tout juste solvables. »
Copie : « de l’oligarque Russe au magnat du pétrole Arabe en passant par la naguère prospère industrie Chinoise ou par le jadis très illustre fonds de pension, difficile de distinguer qui est encore solvable... »
Et un mauvais plagiat en plus, car l’original est plus clair que la copie. Et cite ses sources, lui.
Quel intérêt peut-on avoir à plagier les textes des autres ? M. Santi, cela mériterait une explication !
Décidément, il y a beaucoup d’escrocs parmi les économistes... 