Bonjour à l’auteur (j’ai encore des problèmes avec votre pseudonyme).
Evidemment si l’on part de trois absurdités à savoir celles d’une terre à 5000 ans d’âge, d’un déluge censé avoir été universel et d’une création en sept fois 24 heures. Opposer évolution et créationnisme devrait s’imposer.
Bucaille explique qu’il s’agit en fait de sept périodes de création et que de plus, le sept dans les écritures ne correspond pas au nombre 7 mais à une multitude (sept cieux, sept périodes de création etc).
Le déluge évoqué n’a effectivement rien d’universel (au sens remise à zéro de tous les compteurs) sinon il en resterait des traces sur toute la surface du globe ce qui n’est pas le cas.
Et enfin, la datation de l’age de la terre à partir d’un arbre généalogique fût-il très noble est une absurdité … bien humaine.
En fait, ce que je suis en train de dire, c’est que pas plus que d’autres, vous n’apportez la preuve qu’il y a bien lieu d’opposer irrémédiablement évolution et croyance en l’intervention d’une volonté suprême et créatrice. Ai-je tort ?
Car qu’est-ce qui aurait empêché (au conditionnel évidemment), une telle volonté capable par ailleurs d’instaurer des règles de développement depuis la conception puis la naissance, jusqu’au vieillissement et à la mort, mais aussi des règles de … fonctionnement du genre lois de la physique, d’instaurer des règles d’évolution des espèces le long des dites très longues périodes de création (si création il y a, je vous l’accorde).
Cordialement.
Allez, avant qu’on ne me la fasse : ‘Il faudrait voir à évoluer Jojo…’ Ce à quoi je répondrais : Mais j’évalue autant que je peux moi, y compris ce que vous me dites, bande de mécréants va