• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Vincent Frédéric Stéphane

sur Les temps changent et sentent mauvais


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Vincent Frédéric Stéphane 5 février 2009 23:18

Je pense pouvoir mieux exprimer ce que j’ai ressenti.

Je constate qu’une part importante de notre société accepte de penser, avec la raison et toutes les données objectives nécessaire au raisonnement, des solutions inhumaines aux périls auxquels on s’accorde que l’on devra faire face.

La solution n’est pas dans une régression de l’idée que les êtres humains se font d’eux-mêmes et du reste.

Une solution, effectivement, serait une diminution de notre nombre comme je l’ai lu développer dans plusieurs commentaires. Tentez d’imaginer un scénario de mise en oeuvre concrète de cette solution qui ne vous abaisse pas à traiter autrui, et donc vous-même, comme tout autre chose que votre frère. Vous n’y parviendrez pas. Où plutôt vous ne pouvez y parvenir qu’en prenant comme axiome de votre réflexion que si vous ne devenez pas capables, tous ou presque, de vous aimer, vous-même ou les uns les autres - c’est la même chose -, vous n’y parviendrez pas.

Observez la complexité du monde. On a bâti un truc ingérable ! Nos interactions sont telles que cela le sera de plus en plus.

Alors on peut continuer à raisonner sur ce qu’il faut faire pour que ceci ou cela. Ce sera de plus en plus vain et périlleux.

Le comment importe. Les moyens honorables. La fin sera toujours meilleure que le début si l’on n’utilise que des moyens honorables. Par contre, le contraire sera de plus en plus rapidement évident.














Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès