Merci, Mohamed !,
d’essayer d’éviter les caractères gras. On comprendra la véhémence légitime de vos propos à travers vos mots sans être agressés par tout ce noir, beaucoup trop violent pour mon cerveau rance et ramolli.
Et souvenez-vous, vous qui apparemment cultivez la culture traditionnelle orientale, des parole de Lao-Tseu le sage :
"L’Ecrit est tel la côtelette : Plus c’est gras, moins on en veut" , et il savait ce qu’il disait ce vieux Lao. D’ailleurs c’est de Lao-Tseu et de Lao-Tseu nous surveille.
Bon, je me calme...
Je note par ailleurs, est-ce un hommage à l’auteur, en prolongement au titre de l’article ( "l’âne couronné" ), que vous aimez bien les équidés pour passer dans la même phrase du cheval de l’UMP (a-t-il les reins si solides notre cavalier seul ?) aux bourriques que nous sommes, sauf... notre respect. Ce qui ne m’a pas empêcher de demander à la modération de sucrer le commentaire ci-dessus, on ne va pas se fâcher pour un bout de gras et une invective cavalièrement hippologique.
Je poursuis.
Non je n’ai pas vu le Minus à la TV. je ne fais donc pas partie des 52% de satisfaits à la fin ni des XX% d’insatisfaits dès le début, mais on lui reproche justement, surtout en ce momment, de ne pas arrêter de planter son boxon avec ses réformes à la mord-moi-le-noeud qui ne contentent que lui et sa courtis-ânerie, (pour faire à mon tour un clin d’oeil à notre courageux auteur...) et qui commencent sérieusement à exaspérer le petit peuple.
Ceci -dit, je ne sais pas si cette coalition UMP nous a sauvés du Pen, mais en tous cas pour le coup, ce n’était pas le PS. Maintenant, que Chirac ait paradé sans complexe 5 ans de mieux sur cet illégitime coussin de 82% me fait plus songer à un Mugabé ou un Ben Ali qu’à une prise de Bastille.
Enfin, vous terminez par un autre hommage à l’auteur, et la boucle est bouclée. Voici l’introduction de la notion de petit homme pour celui dont les chevilles sont maintenant mondialement célèbre, mais toujours pas autant que celles de sa compagne d’écurie élyséenne :
"Minus Asinus rex asinorum asinos fricat ", répêtait en effet Confucius à tous les carrefours lors de son dernier Paris-Roubaix qu’il a d’ailleurs gagné, en 1934.
Vous avez donc raison de bout en bout. Malgré tout ce noir, merci.