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Commentaire de SANDRO

sur Affaire Colonna : la raison d'État en flagrant délit


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Sandro Ferretti SANDRO 17 février 2009 14:04

Et pour étre tout à fait complet, j’ajoute ceci :

- M. Vinolas n’était pas "un mai du Préfet Erignac" comme indiqué en introduction. Non seulement la veuve l’a démenti, mais c’est connu de ceux qui connaissaient les deux protagonistes.


- Comme toujours dans les affaires de "révélations tardives", il faut peut étre se demander "pourquoi" et "pourquoi maintenant ?". Vinolas a été entendu au premier procès, et il semble pour le moins étonnant que la mémoire ne lui revienne que maintenant.


- Ces révélations (concernant des personnes anonymes, à ce stade) ne font état que de "suspects". Il y a loin des noms de suspects qui encombrent les services à l’occasion de grosses affaires à une condamnation pénale définitive (sinon, les prisons déjà pleines le serainet encore davantage).


- Allons plus loin : ces "suspects" , une fois identifiés, feraient l’objet d’une enquète amenant des indices graves et concordants de nature à les faire comparaitre aux Assises spéciales (nous en sommes loin, mais imaginons). En quoi cela impacte t-il le "cas " Colonna ?

Dans les témoignages comme dans les déclarations de certains auteurs de l’assassinat (définitvement condamnés et ayant avoué, donc je peux les appeller comme cela), il semble qu’il y ait "encore de la place "pour 1 voire 2 personnes.
En tant que tel, ce n’est pas incompatible avec la culpabilité de M. Colona, ni son innocence, du reste.
Ce serait neutre, car deux complices ou co-auteurs qui ne se trouveraient pas dans le box aujourd’hui ne remettent pas forcément en cause la culpabilité de ceux qui y sont.
J’éspère avoir été clair.
Merci.


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