salut,
C’est la première ligne de défense de l’article (ou plutôt ligne d’attaque sur Frêche) valable depuis le début du fil. Dommage il est tard. Ce vieux Georges ne fait pas que dans le trivial. Il est crû à dessein. Je replace le contexte plus ou moins maladroitement omis par l’auteur.
Frêche est en face d’étudiants-diants-diants dotés du quotient intellectuel de l’étudiant moyen brillament démontré par l’article et les diverses interventions de l’auteur. La verve utilisée, même si on la soupçonne congénitale chez ce vieux pourri de Georges, est une d’une efficace parce que d’une spectaculaire malice dans un contexte pédagogique. Le pire c’est que ça marche et je crois que Mathieu se souviendra de ce cours toute sa vie, et peut-être un jour en tirera-t-il la substance. Il sera prêt à aborder la plus importante des études, celles de vivre en accord avec ses opinions et plus important, d’accorder des opinions à la vie.
Frèche leur a dit l’indiscible et inécoutable réalité hypocrite du système électoral : Fin de l’immaculé rêve démocratique.
Jeannot ! Tu m’en mets un autre ?