Commentaire de Le péripate
sur Les libéraux contre le service minimum
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Il est remarquable qu’il y une asymétrie absolue entre les droits des partenaires. La grève de l’employeur n’a même pas un nom en français. Le "lockout" est non pensé, inimaginable.
C’est toute la sophistication de l’imaginaire despotique en place. Au lieu de ce que le fait de grève ne découle simplement et naturellement qu’à la fois du droit d’association et du droit de rompre un contrat, il a été institué un surdroit, un droit qui détruit le droit, un novdroit.
Dans ce contexte, le service minimum est un absurdisme supplémentaire. Un manque de liberté qui s’ajoute à un précédent manque de la liberté. Le monopole étatique est un problème en soi, qui n’a pas besoin comme solution d’une atteinte supplémentaire aux libertés.
Derniers commentaires
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01/06 00:40 - alcodu
J’ai pu me barrer de là assez rapidement, fort heureusement. Vous voyez, vous avez (...)
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31/05 15:37 - Nico
Le raisonnement présenté dans cet article est, comme de toutes façons la pensée néolibérale, (...)
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04/03 13:15 - Mr.K (generation-volée)
Sur cette replique vous faites preuves de malhonneteté intelectuelle !!! Le liberalisme est (...)
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28/02 16:20 - liber@sta
Bravo pour cet article, qui démontre bien que l’éthique libérale, contrairement à ce que (...)
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25/02 15:32 - Leonidas
Les libéraux sont les 1ers à dénoncer les restrictions à la concurrence, comme par exemple (...)
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25/02 15:27 - Matéo34
Je rejoins le club des Montpelliérains... Hypothèse du texte complètement loufoque : la (...)
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