Il est évident que nos élites ont la trouille car elles constatent qu’elles ont laissé se créer les conditions d’une guerre civile en France.
Elles auront deux réactions successives, en face du drame qui se prépare :
1) la première réaction est celle que l’on peut observer aujourd’hui : La négation du problème, le couvercle fermement maintenu sur la marmite, circulez il n’y a rien à voir.
Tous les médias sont mis à contribution pour répandre cette bonne parole.
Mais fuir n’a jamais arrangé aucun problème et les Français se refusent obstinément à avaler la grosse couleuvre qu’on cherche tout aussi obstinément à leur faire avaler depuis des années sans aucun succès.
Alors, il faudra passer tôt ou tard à la deuxième étape, lorsque les évènements deviendront un peu plus dramatique :
2) Et ce sera la fuite générale devant les responsabilités.
Car enfin, qui a laissé entrer ces immigrés inassimilables chez nous ? Et pourquoi ? Dans quel but ?
Que répondront-ils tous lorsque ces questions seront posées ?
La réponse est très simple, il chercheront tous à se refiler le mistigri.
Nous pouvons tout de même tenter de répondre nous mêmes à ces questions :
Tout d’abord une bonne partie de nos élites ne s’est tout simplement rendue compte de rien ! Il y a toujours eu très peu d’immigrés clandestins qui sont venus s’installer dans le quartier du boulevard Saint-Germain ou du Trocadero, et il y a toujours eu assez peu d’enfants d’immigrés clandestins à Louis le Grand ou à Henri IV.
Ils n’ont tout simplement rien vu !
Quant à l’autre partie de nos élites, elle a laissé faire cette invasion en pensant en tirer un bénéfice politique, pour ne pas dire un bénéfice électoral.
Il s’agissait pour eux de truquer les listes électorales. Ce sont tous ceux qui nous conseillent aujourd’hui de faire de tous ces immigrés clandestins des électeurs.
Sans même attendre leur naturalisation qu’on accorde pourtant sans barguignerà qui en fait la demande !
Lorsqu’on constate le battage médiatique qu’on organise tous les jours pour faire avaler la pilule aux Français, on peut seulement en déduire qu’on commence à s’inquiéter en haut lieu.