@leon
J’ai l’impression que vous perdez votre sang froid, cher Léon. Quand on insulte et que l’on crie au blasphème c’est qu’on manque d’arguments.
La grève n’est pas une cessation de travail ordinaire de la part d’un salarié puisqu’elle s’accompagne d’une association. Les libéraux se sont opposés à l’interdiction des associations par les étatistes du XIXe ils s’opposent aujourd’hui à l’interdiction de rompre un contrat par les étatistes contemporains.
Désolé que les faits et l’histoire vous donnent tort. Les libéraux se sont toujours opposés à l’esclavage. Cela fait partie intégrante de la philosophie libérale. La guerre de tous contre tous (Hobbes) est totalement contraire à la vision libérale des lumières. Vous faites donc un contresens total qui révèle votre inculture Comme beaucoup d’opposants au libéralisme vous souhaitez lui imputer tous les maux de la terre : la travail des enfants, la colonisation, (vous avez oublié le réchauffement climatique).
La grève est un bon mécanisme qui permet de lutter contre les injustices. Le "droit de grève" inventé par les étatistes est un privilège qui permet à certains de s’enrichir sur le dos des autres.
La grève ne peut pas être un moteur du progrès social (et encore moins le "droit de grève" qui lui, introduit un recul social). Si la société médiévale avait introduit le "droit de grève" elle n’aurait pas progressé pour autant. Ce qui fait progresser l’humanité et ce qui profite aux plus faibles c’est la création de richesses engendré par le progrès technique, le partage du travail, et l’échange.
L’idéal social du libéralisme ce n’est pas la justice sociale obtenue par la coercition. L’idéal social du libéralisme c’est la lutte contre la pauvreté. Car la pauvreté dans le monde contemporain résulte massivement de l’exclusion (et pas le contraire). Les réglementations, les subventions, les zones de non-droit, les privilèges et les monopoles sont autant de causes d’exclusion pour des millions d’habitants de la planète.