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Commentaire de JL

sur Sarkozy : le goût de l'extrême


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Francis, agnotologue JL 28 février 2009 13:51

Bonjour La Taverne, vous apportez un point de vue qui n’est pas forcément ma tasse de thé mais qui est toujours intéressant.

Une question : C’est qui les "démocrates de gauches" qui ne peuvent que rejeter Besancenot ? Ceux qui ont fait passer le TCE contre la volonté du peuple ?

Par ailleurs il me paraît évident que si "Sarkozy n’a pas dissimulé sa sympathie pour Besancenot ", c’est par calcul, pour diviser ses adversaires.

Enfin, et surtout c’est l’objet de mon commentaire, vous écrivez : ""La méthode présidentielle ne ressemble à rien de connu et, partant, ne pouvait qu’échouer puisqu’elle n’a jamais été confrontée durablement à la réalité"".

Sarkozy est un empiriste, je crois même que c’est lui, sinon son entourage qui l’a dit. Cela me rappelle par comparaison, le tollé qu’avait soulevé à droite la réflexion d’un certain Laurent Fabius, alors premier ministre, qui avait dit : "On en apprend tous les jours". A coté de ce premier ministre qui reconnaissait humblement quelques menues erreurs ou approximations, notre omniscient d’aujourd’hui est un apprenti sorcier qui a érigé l’empirisme en méthode de gouvernement : nous sommes ses sujets d’expériences. Et cela n’a que trop duré !


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