Ce n’est pas simplement un problème de contraception mais aussi un problème cutlurel.
Autre point important, l’homme a amené un mode de vie qui n’a plus rien de naturel :
En 1830, la population humaine a atteint le premier milliard d’individus de toute son histoire ; il aura fallu 100 000 ans pour y arriver. Pour atteindre le deuxième milliard, il a suffi de 100 ans supplémentaires. Puis, grâce à une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et des soins médicaux, particulièrement ceux destinés aux enfants, la démographie s’est emballée : de 1930 à 2000, on passe de deux à six milliards. Depuis 1930, le taux de reproduction de notre espèce ressemble plus à celui d’une population de lapins qu’à celui d’une population normale de primates.
Cyrille Barrette professeur de biologie de l’Université Laval préconise de relaisser faire la nature en laissant la misère sous toutes ses formes (famines, épidémies, guerres, génocides) faire son oeuvre, c’est-à-dire en se soumettant aux forces de la sélection naturelle.
http://www.ledevoir.com/2008/12/20/224243.html