bonjour jonas,
votre point de vue se défend sur l’éthique, mais je n’imagine pas un juge sans une opinion politique et le droit de vote comme n’importe quel citoyen en age de voter, ni ne crois que non syndiqué, un juge ou un proc sous tutelle politicienne n’existera pas pour autant.
Mais en ce moment, l’ensemble des propositions de réforme ne touchent pas que les quelques dossiers politiciens et les "affaires", mais l’ensemble du fonctionnement de la justice, pour tous les dossiers, pour tous les citoyens, dans le cadres des 5% des affaires pénales les plus lourdes,
celles que touchent à la mort d’un membre de sa famille, au feu matriciel de l’esprit de vengeance, a l’irrémédiable d’une vie qui ne reviendra pas, où pour encaisser le choc, on doit savoir la vérité de ce qui s’est passé et pourquoi. C’est à ce rouage là de la société qu’il ne faut pas toucher.
Dans une justice unipolaire et aux ordres exclusif d’une politique pénale avec une défense à l’américaine qui repose sur le budget des accusés. Au premier procès pour crime sur une jeune femme typé banlieue où l’accusé est plutot riche du centre ville, et où il s’en sort avec des experts payés par sa défense, etc...
Vous créez les conditions de recours qui seront considéré comme légitime par quiconque en regardant ses enfants et le rouge de son compte en banque au 15 du mois, a une violence par le besoin de justice, qui ne sera plus du tout canalisé et régulée par le systême pénal et la confiance relative mais néanmoins garantie par les statuts envers un juge d’instruction indépendant, faillible, mais indépendant.
amicalement, barbouse.