la première fois que l’on m’a expliqué darwin j’avais 5 ans. et j’avais grosso modo compris.
La nature selectionne les plus aptes à survivre et les plus aptes à survivre sont ceux qui ont survécu.
ca sert à rien d’aller vérifier au fin fonds des océans que cette tautologie est vérifiée, là bas aussi.
La génétique n’a fait que montrer qu’il y a un processus aléatoire dans la création des descendants, tout le reste provient de l’imagination du croyant qui , à coup de millions d’années, accepte que tout est capable de se transformer en tout, comme dans le morphing, par de petites continuités.
Mais voilà, il y a des discontinuités (premiere cellule, création du code génétique, invention du sexe -de un donne deux à deux donne un ou plusieurs-, la création de plusieurs organes et mécanismes dont l’utilité n’apparait qu’après accomplissement de l’organe comme par exemple les ailes d’oiseau, l’homeostatsie etc...). Et là les explications darwinistes sont soit absentes soit ridicules.
L’ingenieur qui est en moi me dit que la techologie de la vie telle qu’on peut l’admirer est inaccessible à un quelconque processus purement aléatoire. L’aléatoire et même la continuité bute inexorablement vers l’impasse comme on ne peut passer par de petites modifications de la traction avant à un objet relativement aussi primitif que la dernière Ferrari.
La vérité, quelqu’elle soit doit passer par les fossiles de dinosaures et d’australopithèques. Le darwinisme, dont les sois disants mécanismes ne sont apparus que bien après son succès populaire reste avant tout un théorie sociale de la loi du plus fort et un truc pour emmerder les religieux.
Et comme dans X-Files, la vérité est ailleurs...