Bonjour Epeire,
Beaucoup d’idées qui sont préambulée par « tout le monde n’est pas d’accord ». J’aime cet esprit scientifique.
« cinq de ces crises qui délimitent les différentes ères géologiques : Ordovicien/Silurien, Silurien/Dévonien, Permien/Trias, Trias/Jurassique, Crétacé/Tertiaire »
A la fin du précambrien, si on se suit pas la théorie de la Panspermie avec l’arrivée des êtres vivants par les comètes, il y a eu les premiers organismes multicellulaires.
Au Cambrien, grâce à cet organisme, voit naître la plu part des races animales encore existantes aujourd’hui. Au niveau des plantes, seules les algues apparaissent.
L’ordocitien vaoit les premières plantes. Le Silurien voit la première extinction massive (85% des espèces marines à la trappe). Cause inconnue. Au Dévonien, poissons et insectes pullulent. A sa fin, 2ème extinction avec à nouveau 85% anéantis. Premiers animaux vertébrés. On arrive.... enfin presque.
Au Carbonifère, plus d’oxygène. O2 pour les scientifiques, mais tout le monde s’en fout, alors. Entre Permien et Trias, rebelote : 70% des espèces terriennes, 9à% dans l’eau, retrouvent leurs « créateurs ». Sale temps, les volcans donnent des siennes
Au Trias, la Pangée voit les sauriens sous forme de crocodiles et de tortues.
Au Jurassique, voilà que les airs intéressent et les ailes pour y aller.
Au Crétacé, il fait chaud, chaud. Les dinosaures s’amusent. Le Trex sera le plus cruel à la fin. Il ne s’intéresse pas aux plantes, pas assez d’humeur des espaces verts. Pas écologique du tout ces bestioles. Au bout, pour les punir, nouvelle extinction, un météorite sur la tête, c’est pas bon pour les cheveux. Retour à la case départ.
Le Tertaire, le paléogène et le Néogène, en fait, tout le monde se gène. Mais quand il y a de la gène, comme tout le monde sait, y a pas de plaisir. Les mammifères viennent fouler le plancher des vaches. Enfin, son ancètre...
Le singe dit bye bye à l’homme qui veut voir plus loin et qui se met à marcher sur ses deux quilles arrières.
Au Quaternaire ? Ben, il fait froid, on a des calottes en glace. Faut se couvrir.
Il y a 200.000 ans, l’hommo sapiens qu’il en connait plus que les autres. Pas de quoi en faire un plat, mais tout de même, on découvre et on joue aux allumettes. Après tout va se jouer à pile ou face. On cherche la pièce qui va permettre le nouveau jeu.
Aujourd’hui, on commence a retrouvé les avantages de cette nature. Voilà, qu’on la copie. J’en ai parlé lors d’un article qui titrait « Petite nature, pour grandes natures »
N’est-ce pas une manière humoristique de présenté nos ancêtres qui n’étaient pas toujours Gaulois ?