Krokodillo,
« English is coming »
It’s not true. I has come.
The Economist montre une tour de Babel. Les langues font partie en effet d’une construction mais pour rester au courant et se parler entre tous, il faut une pierre de Rosette ou une langue de passage.
L’hégémonie ne naît pas. Elle se construit par les habitudes.
J’ai déjà dit ailleurs que l’anglais ne suffit pas. Dans tous le bassin Méditerranéen, il faut parler l’allemand. Bien plus utilisé. N’oublions pas que cette langue est parlée en Allemagne, en Autriche, en Suisse et des consonances identiques au niveau construction au Luxembourg, même s’il ne fgaut leur dire que ce n’est pas de l’allemand. Donc, l’Economist se trompe. Ce n’est pas l’anglais sinon dans les hotels.
L’anglais est plus utilisé dans le Nord de l’Europe.
Pays-Bas, pays scandinaves ne s’y sont pas trompé et utilisent l’anglais comme leur langue maternelle.
Quand on veut faire du commerce avec le monde, vaut mieux ne pas se laisser berner par une mauvaise compréhension de la langue de Shakespeare.
Le Français, ouais. C’est ma langue maternelle, mais ne pourrait jamais être, tellement elle est difficile, être une langue qui sortirait de la langue maternelle.
« Mother language plus two »
Of course, this is the best way to get a universal culture without any crualty.
« In Brussels, native English-speakers are notoriously hard for colleagues to understand : they talk too fast, or use obscure idioms. »
>>> Not true. It’s the indians who are speaking english who are not understood.
A Bruxelles, nous avons pas moins de 25 langues qui se baladent tous les jours dans nos rues.
L’anglais est la langue passe partout c’est un fait.
Comment est-il possible qu’on ait créé l’Europe de la finance, sans penser à unifier la deuxième langue ?
Ca c’est ma question de base.