X79Y,
En fait, qu’est-ce qu’une langue ? Un outil pour et entre les hommes.
C’est un peu ce qu’est la monnaie. Rien de beaucoup plus.
Nous avons connu ce genre de sentiment de frustration, quand l’euro a remplacé les monnaies d’antan en Europe. Cela date à peine de 2001, pour les intiateurs.
Pour l’euro, il a fallu, au début, garder soit une calculette, soit avoir le calcul mental comme hobby.
Je suis sûr que les anciens y ont toujours recours. Peut-être même en "balles" en anciens vieux francs.
Les jeunes n’ont plus ce problème. Les avantages d’évaluation pour le voyageur sont évidents.
Alors, pour les langues, le latin, c’était pas mal, surtout quand César imposait sa marque au travers d’une partie de l’Europe. Qu’en reste-t-il des fanas Lefebriste, les équilibristes d’un autre âge. J’ai encore passé à la moulinette de son étude. Aujourd’hui, à vous de me le dire, quel est la fréquentation des cours de latin sinon pour les futurs linguistes de la francophonie ?
Quand au mandarin, le japonnais, comme l’Asie fait un bon en avant sans précédent, je connais beaucoup de collègue qui s’y sont mis à leur étude. L’hindi, une des langues de l’Inde, je n’en ai pas d’écho mais il est vrai qu’un Indien ne cherche pas trop à partager pas trop ses connaissances de ce côté.
La difficulté d’apprentissage d’une langue n’est pas nécessairement le point déterminant.
Seul le pragmatisme existe. Du rendement que diable. Alors devil ou diablo ? Bof....