@ L’Auteur :
Excellent article bien construit et illustré avec beaucoup de talent.
Je n’ai butté que sur une phrase : " Ma conclusion est que finalement, le rôle de définir le bien et le mal ne revient ici pas aux scientifiques. C’est l’affaire de tous, "
Cette simple réflexion pourrait donner lieu à un article… !
D’après vous la masse serait supérieure à l’élite ? (Dont vous faites partie grâce à vos connaissances).
Mais, attention ! Connaissances et intelligence ne sont pas synonymes.
Je pense qu’associer la science à des idéologies politiques ou religieuses, est une erreur fondamentale.
Bien souvent les hommes ( la masse) exploitent, des pseudos conclusions scientifiques, pour en faire l’assise d’une idéologie ou orientation politique, voire pour combattre des religions.
Cette tendance conduit les hommes à faire du nombrilisme, ce que vous dénoncez habilement dans votre préface, mais au-delà du nombrilisme, il y a une tendance au déisme. Nous ne sommes pas des " dieux ", pour autant qu’ils en existent ?
Je partage votre conception sur la naissance d’autres espèces ou de mutations, mais, les mutations ne sont pas toujours évolutives…. !
Je ne crois pas en Darwin, mais, en Anaxagore (500-428 av. J-C) dit de Clazomènes en Ionie (Turquie), qui est le véritable inventeur de la théorie : " Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ", injustement attribué à Lavoisier.
Si une catastrophe globale met les pieds dans l’eau aux centrales nucléaires, aux décharges et autres structures, bonjours les mutations dans leurs environnements immédiats.
Bien à vous.